Origine du nom

D’où ce nom ( Nobressart) vient-il ? Pour expliquer cela, on peut déjà diviser le mot en deux particules.

Noble-sart

Autrefois l’implantation d’un nouveau village débutait par l’essartage de la forêt. On abattait les arbres et on brûlait. Les cendres enrichissaient le nouveau sol que l’on cultivait. De là sont venues toutes les appellations de localités en sard, sars, sart, essars… ainsi que brulie, bruly, brulin… et leurs correspondants en flamand rode, rhode.

En 1236, le village est appelé Elchert.

Dès 1247, c’est Helckerot (Testament d’Ermsinde) qui devient le nom d’appelation du village.

Vers 1700, Elcherot prend le relais.

En 1835, Nobressart, le nom actuel, est rattaché à la Belgique.

La salle

Désormais siège principal du Club de La Fontaine a.s.b.l, ce batîment a pour vocation première d’être une « fontaine » (lavoir) où les gens venaient laver leur linge.

Construite en bordure d’un affluent de l’Attert, la Fontaine avec son architecture modeste mais équilibrée, marque la séparation entre deux routes. Elle constitue de ce fait un pôle urbanistique et un point de repère évidents pour le village. Témoin de l’histoire sociale, sa sauvegarde a permis le maintien d’un témoin historique, jouant un rôle dans la structure urbanistique et le patrimoine architectural du village.

1880…

Bacs-lavoirs à ciel ouvert, lavoirs-tunnels, fontaines abritées se construisent dans les villages de la commune, en autant de lieux de travaux, de rencontres et de jeux. La fontaine de Nobressart est édifiée à la porte d’entrée du village selon les plans du commissaire Voyer. Avec son toit d’ardoises à deux versants et croupes, elle s’intègre bien aux volumes des habitations locales.

fontaine

1974…

Discrète architecture néoclassique, la fontaine a fait la nique au temps, mais pas a la technique. L’eau courante d’abord, le lave-linge unifamilial ensuite, le réseau d’égouts enfin ont eu raison d’elle et de ses murmures. La source s’en va au ruisseau sans plus chanter dans les bacs.

1980…

Privée d’eau, la fontaine a pris les rides et les crevasses du temps. Pourtant, elle fait encore couler de l’encre. Depuis quelques années, sans en être le lieu, elle reste le centre de nombreux échanges : retrouvera-t-elle bientôt sa fonction sociale, un foyer où laver son linge, blanc ou noir, en famille ? La Commune d’Attert entreprend de grands travaux dans le village : égouttage, voiries, places, éclairage, murs de soutènements, plantations… Dans ce cadre, elle envisage la transformation de la fontaine désaffectée en arrêt de bus, ainsi qu’en cabine électrique pour la haute tension voisine. La population du village exprime son opposition a ces projets trop techniques, sans toutefois proposer une autre affectation. La commune d’Attert, propriétaire du bien, ne souhaite pas davantage y ramener l’eau : la fontaine vivra une autre jeunesse ou mourra…

1982…

Au lendemain des travaux de rénovation rurale, le Club de la Jeunesse de Nobressart ajoute progressivement a son objectif d’animation du village celui de gestion du patrimoine public. C’est ainsi qu’il organise le grand nettoyage annuel du village, participe à la rénovation d’une chapelle, propose la mise en valeur de pierres sculptées. Il regrette aussi l’état de délabrement de la fontaine et interroge les habitants par vote écrit : 65 % des personnes répondent ; toutes souhaitent la sauvegarde du bâtiment, sinon comme fontaine, du moins comme local pour la communauté.

1984…

Le Club de la Jeunesse étudie la remise en état de l’enveloppe du bâtiment et l’aménagement de ses abords pour l’accueil d’activités diverses : gymnastique, ping-pong, plaine de jeux, locations privées… Ce projet emporte l’adhésion des habitants, d’autant plus que le Club a déjà investi la Fontaine, a titre expérimental, lors de la fête annuelle.

1986…

Par décision du Conseil communal, la fontaine est cédée au Club de la Jeunesse par bail emphytéotique, pour une durée de 45 ans. La même année, le projet de restauration est introduit au concours « entreprendre pour sauvegarder » organisé par la Fondation Roi Baudouin et emporte un prix de 500.000 francs. Les travaux peuvent commencer…

2001…

La fontaine juste avant ses dernières transformations.

2003…

Des travaux d’aménagement sont entrepris à la Fontaine. Une annexe comprenant une grande cuisine, des sanitaires dignes de ce nom, un local à rangement ainsi qu’un grand comptoir est accollée au batîment principal. Les travaux de finition seront bientôt achevés grâce au travail de quelques bénévoles du village. Voir l’état d’avancement…

2007…

L’annexe est terminée. L’aménagement des abords extérieurs débutera bientôt…

2008…

C’est au mois de mars que les premiers coups de pelle débutent pour l’aménagement des abords extérieurs. Des pavés sont posés pour avoir une grande surface utile lors des différentes activités.

Le moulin

On accède au moulin  par une ruelle perpendiculaire à la rue principale du village. La ruelle, bordée de maisons jointives et de plus grosses fermes, se termine en cul-de-sac. Cet à cet endroit que se trouve le moulin de Nobressart.

On trouve les premières traces du moulin au 17ème siècle. Les documents le mentionnent comme appartenant au Roi et soumis à la banalité (il dessert avec obligation un village et son banc qui est un territoire juridique et administratif).

Le moulin a été reconstruit en 1776 par l’architecte BURTON; la cartouche rectangulaire représentant l’aigle bicéphale autrichien frappé des initiales M.T. en témoigne. Cette reconstruction concerne la partie droite du logis, ainsi qu’un autre bâtiment partiellement jointif démoli avant 1855. A cette époque, la roue se trouve vraisemblablement contre le mur extérieur gauche, le mécanisme prenant place dans la pièce se trouvant derrière la cuisine.

Vers 1860, le moulin est doté d’une deuxième meule et d’une scierie. Ce fut d’ailleurs l’évolution normale de la plupart des moulins de la région.

Une première extension de ce bâtiment primitif intervient sans doute dans la seconde moitié du 19 S. par allongement du volume, couvrant ainsi la roue. A cette époque, une première grange est construite en retour d’équerre. En 1880, la deuxième grange est construite derrière la première. L’habitation est actuellement couverte d’un toit à la Mansard. Une frise de briques assez importantes sous gouttière, sans doute tardive, est inhabituelle dans la région. La façade comprend trois travées de baies sur deux niveaux. Les fenêtres du pignon sont à linteaux bombés avec encadrement en briques et surmontées d’un oculus. Les dépendances sont disposées en retour d’équerre par rapport au logis ; il s’agit de deux bâtiments parallèles accolés. Le premier comprend une porte de grange à linteau droit qu’encadre deux portes d’étables. Le second volume est percé en pignon d’une porte cochère à linteau bombé surmontée d’une fenêtre en plein cintre.

En 1984, une des meules a été remplacée par un moulin à cyclindres toujours pour des raisons économiques. A l’époque, face aux grandes meuneries, les moulins ruraux doivent se tourner presqu’exclusivement vers la préparation des aliments pour bétail.

C’est en 1968 que le moulin cessera toute activité.

Il est aussi intéressant de noter que la mécanique contient beaucoup de pièces en fonte. Elles ont été introduites lors de grosses réparations et à une époque où la sidérurgie était florissante dans nos régions.

Actuellement il est parfois remis en activité par son propriétaire. Celui-ci l’a transformé en musée et propose également au public d’acheter ses produits du terrroir (truite fumée …). Renseignements : 063/22.56.77

La chapelle Notre-Dame des Sept Douleurs

Son architecture

Une porte à linteau bombé, surmonté d’un motif circulaire, donne accès à la chapelle tandis qu’une lumière parcimonieuse pénètre par deux petites fenêtres rectangulaires percées dans les murs gouttereaux.

De plan rectangulaire, l’édifice est couvert d’une simple toiture d’ardoises. Une voûte surbaissée couvre l’intérieur.

La statue de la Vierge qu’abritait le sanctuaire a été dérobée il y a plusieurs années.

Depuis sa restauration en 1983, l’accès se fait par une porte contemporraine en fer forgé et bois bien adaptée au style du bâtiment. Quelques années plus tard, il était question de construire une cabine électrique non loin de là, ce qui aurait été peu élégant. Afin de ne pas disperser le mobilier public, il a été décidé d’annexer cette cabine dans le prolongement du bâtiment de la chapelle à la manière des fours annexés aux logis traditionnels.

Son histoire

Si nous ne pouvons dater exactement la chapelle, nous pouvons, par contre affirmer que son emplacement est vieux de plusieurs siècles car dans la coutume de Nobressart écrite en 1656, la communauté villageoise prend la chapelle comme un repère pour délimiter certains passages et chemins locaux.

Depuis lors, cette chapelle a été détruite puis reconstruite. Lors de travaux de restauration dans les années 80, on a mis à jour d’anciennes pierres qui étaient probablement les restes de la chapelle primitive.

Grâce à des collectes, à des dons privés mais aussi grâce à une participation du Club des Jeunes et du Conseil de fabrique, la restauration de la chapelle commence en 1983. Une équipe d’une douzaine de bénévoles se met au travail sous les conseils de l’Assistance architecturale et urbanistique de la Fondation rurale de Wallonie.

Le nouvel édifice est béni par Mgr Musty le dimanche 24 juillet 1984, jour de la fête du village et de la célébration des confirmations.

L’église

L’église Saint Jean-Baptiste de Nobressart

En 1838, l’ancienne église située au coeur du cimetière, menace de tomber en ruines. Dès le 1er mars 1839, on y interdit même l’exercice du culte. La population du village ne cessant se développer, il serait bon de construire une église plus spacieuse et située au centre du village.

Pour ce faire, les membres de l’administration communale demandent une aide financière auprès du gouvernement. Le projet est confié à l’architecte provincial CORDONNER.

L’idée de construire un nouvel édifice religieux sur un autre emplacement ne plait guère aux villageois ainsi que ceux du lieu-dit Almeroth. Le trajet étant jugé trop long. Pourquoi ne pas construire à l’emplacement de l’ancienne ? Les autorités rétorquent que la nouvelle église plus grande que l’ancienne occuperait le cimetière dans sa totalité… impensable ! On préfère choisir, le jardin de M. Molitor situé au centre du village. Les propriétaires ne semblent guère satisfaits de céder leurs terrains. Bref, un climat de tension existe bel et bien en 1840.

En 1842, le projet traîne tellement, que l’on demande une révision des coûts à l’architecte JAMOT. L’entrepreneur est SAMPAIX, qui avait déjà réalisé celle de Neufchâteau. Un an plus tard, c’est un autre entrepreneur, M. COURTOIS, qui continue la construction. Malgré la présence de carrière de pierres de tailles au village, on choisit les pierres de GRANDCOURT. Le 15 octobre 1845, le nouvel édifice est achevé. Coût total (non compris l’ameublement: 41.000 francs).

A cette époque, le frère du bourgmestre, Mr Jeanty, est vicaire général à Namur. Il conseille le bourgmestre pour l’aménagement intérieur. Le bourgmestre avance les fonds soit 10.000 francs.

En 1875, des travaux de réparations sont déjà nécessaires: la moitié de la toiture est en mauvais état, il est nécessaire de réparer le versant exposé au vent de pluie; de refaire le plafond de la nef de droite ainsi qu’une partie du plafond de la nef centrale. Le 17 juillet 1884, I’école et l’église ont connu de sérieux dégâts par  » un ouragan de grêle « . En 1920, le bourgmestre, M. NEPPER, renouvelle l’escalier d’accès à la sacristie donnant sur le jardin en face du presbytère (9 marches en pierres de taille fort usées) et fait repeindre la porte d’entrée de l’église. La demande d’agrandissement du jubé pour que les « chantres  » aient plus d’espace faite par le curé Hames traîne en longueur vu la mauvaise volonté du secrétaire communal (M. WAGNER) qui avait juré que  » le curé n’aurait pas son jubé ! « . Les travaux seront faits par l’architecte Léon LAMY. De nouvelles orgues sont attendues en 1922. Encore quelques réparations en 1930: remplacement des chenaux et de la tour.

Les légendes

Nobressart anciennement appelé Elcherot vit au rythme de ses légendes. Les légendes sont en effet l’héritage de nos ancêtres. Parvenues jusqu’à nous, elles sont le fruit d’une psychose collective venue du fond des temps : la peur du loup, la peur des soldats, la peur des sorciers … Pendant des siècles ces climats d’insécurité ont hanté nos villages. Je vous laisse en juger …

1ère légende:

Au siècle dernier, les habitants de Thiaumont avaient peur de se rendre à Nobressart la nuit. Lorsqu’ils arrivaient à la limite de leur village, il leur semblait voir au loin, sur les hauteurs de Nobressart, des formes suspectes portant des flambeaux. Les habitants de Thiaumont affirmaient que c’est à cet endroit que toutes les sorcières de tous les villages environnant se rassemblaient pour préparer leurs marches diaboliques.

A l’embranchement des chemins vers Heinstert et Louchert se trouve une chapelle où les habitants de Nobressart avaient l’habitude de brûler, chaque jour, des cierges à Notre – Dame des Sept Douleurs.

C’étaient les lueurs flamboyantes de ces bougies que les Thiaumontois prenaient pour des sorcières. Il est utile de préciser qu’en Europe, c’est au 16ème et 17ème siècle que la sorcellerie est au sommet de l’obsession. C’est de cette époque que nous reviennent toutes les légendes qui ont pour thème la sorcellerie et les sorciers. Les calvaires et les chapelles dédiés à la Vierges ou à l’un ou l’autre Saint et que l’on trouve encore aujourd’hui aux embranchements et carrefours des routes, dans nos campagnes et principalement aux entrées des localités, sont les témoins durables de cette époque. C’est en effet à la croisée des chemins, par moquerie pour la Croix du Christ, que se réunissaient les servants du démons. En érigeant tantôt un calvaire, tantôt une chapelle, nos ancêtres comptaient sur l’effet dissuasif que ces monuments créaient sur les esprits malsains en les écartant, du même coup, loin des lieux et des villages.

2ème légende:

On raconte à propos de la maison Oswald que le grenier et les caves étaient peuplés de fées et des autres esprits malveillants. C’est au grenier que la menace était la plus terrible car il abritait une sorcière plusieurs fois qui tuait sans pitié. Il paraît que c’est dans l’enchevêtrement des poutres de la charpente, que, tel un oiseau de proie, la terrible sorcière se reposait. Gare à celui ou à celle qui troublait son repos…

On raconte aussi que les caves de cette maison auraient, quant à elles, été le théâtre d’une immolation par le feu de la dernière sorcière de Hachy et qu’il s’agissait plus précisément du sorcier « Kaap ».

3ème légende:

A Nobressart vivait un maître – sorcier. Les villageois ne le laissaient pas rentrer dans les étables car s’il arrivait à y pénétrer il ensorcelait les vaches et elles ne donnaient plus de lait. Une fois ensorcelée, le maître – sorcier emmenait une vache prés de la chapelle des Sept Douleurs. Ensuite, il la trayait. Le maître sorcier n’avait qu’une seul vache mais pourtant, il apportait, au marché à Arlon, beaucoup plus de produit laitier que les villageois de Nobressart.

L’ancien tram

Historique: 28/05/1884 : Promulgation de la loi permettant de créer la S.N.C.V. 01/02/1910 : Tronçon NOBRESSART-ARLON 01/06/1911 : Tronçon MARTELANGE-NOBRESSART 1935 : La vapeur est abandonnée pour le mazout 1952 : Les autobus remplacent le tram232

Le trajet effectué par le tram était au départ d’Arlon, la gare Sainte-Croix; ensuite, il continuait son chemin jusqu’à Bonnert, Tontelange, passait tout prés de Metzert, roulait jusqu’à Attert où il se ravitaillait en eau dans la rivière. Le parcours se poursuivait par Schadeck, Post, Louchert, Nobressart, Heinstert, La corne du bois des pendus, La Folie et Martelange. Le tram s’y ravitaillait une nouvelle fois en eau dans la Sûre. Les gens habitant Nothomb, Parette, Lischert,… avaient moins de chance… En effet, pour pouvoir prendre le tram, ils devaient se rendre à pied à l’arrêt le plus proche!

Le convoi était composé d’une locomotive, de voitures-voyageurs (avec une plate-forme en plein air), d’un fourgon de fin qui transportait des marchandises, du courrier, en hiver, le tram était chauffé par un poêle nommé petit diable.

En ce temps-là, le tram était un des moyens de locomotion le plus utilisé, plus rapide, plus pratique et moins coûteux. Il a néanmoins disparu cédant sa place aux autobus, aux voitures, au progrès! Les personnes jouant un rôle important étaient le machiniste, le chauffeur et le garde-convoi. Quatre mille kilomètres de voies vicinales furent créées à travers le royaume dont 400 dans la province de Luxembourg. Les déplacements touristiques, notamment vers la mer du Nord, acquirent un premier succès. En 1913, le matériel roulant représentait 58 millions de francs.

Hélas, la guerre 14-18 va bouleverser son avenir économique. Durant cette première guerre mondiale, les allemands réquisitionnèrent la S.N.C.B. pour les besoins de la guerre.  Les bus et l’automobile firent leur apparition et devinrent des concurrents. Ces modifications techniques apparurent à Bruxelles et dans les grandes agglomérations.

Les Lavoirs

Au fil du temps, au fil de l’eau …

Les gestes d’antan ne sont pas tous perdus. Certes, ils se sont réduits, mais la préoccupation qui les a motivés reste la même : « obtenir un linge plus blanc que blanc ». Le lavoir était fréquenté régulièrement pour des petites lessives. Mais deux fois par an, au printemps et en automne, avait lieu ce qu’on appelait la « grande lessive ». Les filles de la maison étaient réquisitionnées avec les meilleures voisines. L’homme avait pour mission de réserver l’endroit, depuis la veille si nécessaire, ou même d’y passer la nuit. En effet, par crainte d’être repoussée par d’autres occupants, chaque famille devait retenir sont tour afin de pouvoir y travailler seule. Ce n’était sans doute pas le cas quand le village louait les services de lavandières où toutes ensembles réunies s’en donnaient à cœur joie, battoir battant.
Les méthodes d’antan

Architecture

Les maisons des villages lorrains sont caractérisées par leur mitoyenneté (avec décrochement en hauteur et en largeur), les proportions du pignon, sa croupette, le toit d’ardoises (du moins à l’origine) et l’apparente planitude des surfaces par ailleurs crépies.

Il y a aussi les percements principaux caractérisés par les lignes verticales (fenêtres toujours plus hautes que larges), leur rythme, l’encadrement des fenêtres et des portes.

Quelques schémas simples donnent une idée claire de tout ça et valent mieux qu’un exposé fastidieux :

  • Maison typique :
    maison
  • Débordement du toit :
    debordement
  • La pente de toiture :
    toiture
  • Les croupettes :
    croupes
  • La planitude :
    planitude

Gîtes ruraux

Il est possible de loger dans un gîte rural, une chambre d’hôtes.

Gîte de la Kwert
Marchal-Boden Annie
rue de la Kwert, 208
6717 Nobressart
+32 (0)63 21 70 31 / +32 (0)494 46 61 74 / +32 (0)497 70 37 81
annieboden@skynet.be

Chambre d’hôtes La Passagère
Guylaine et Jacques Lamury
Rue de l’Eglise, 263
6717 Thiaumont
+32 (0)63 22 20 43
jac.lamury@belgacom.net
https://lapassagere.be

Gîte de la Schock
Martine et Claude STREITZ
+32 (0)63 22 25 10 / +352 621 388 165
claude@gitedelaschock.be
http://www.gitedelaschock.be

L’Elchertoise

A l’occasion de ses 30 ans d’existence, en juin 2004, le club de la fontaine a annoncé la sortie officielle de l’Elchertoise.

Bière artisanale ambrée, re-fermentée en bouteilles (6.2°) avec un subtil goût d’agrumes amer.

Vous en avez entendu parler, Vous y avez goûté, vous en redemandez, …
Laissez-vous tenter…

Disponible aux activités de Nobressart, ou pour repartir chez vous, pour offrir,… en casiers de 24 bouteilles ou en emballages carton de 6 bouteilles (idéal pour les cadeaux)

Venez la déguster!

elchertoise